Toutes les taxes, charges sociales, charges salariales, charges patronales, impôts locaux, T.V.A., T.I.P.P. … et j’en oublie surement, on en compte plusieurs centaines en France, seront abolies purement et simplement.
L’argent que gagne un individu par son travail n’est que la représentation de ce travail. Lui en prendre une partie sans son accord préalable n’est rien d’autre que du vol ou du travail forcé, autrement dit de l’esclavage. L’esclavage ayant été aboli et le vol étant interdit par la loi, aucun impôt, aucune taxe, aucune charge ne seront imposés sur le travail. L’artisan gagnera ce qu’il facturera, le salarié touchera l’intégralité de la somme payée par son employeur.
Il n’existera que trois impôts, pas un de plus:
- L’impôt sur la dépense. Il aura deux taux, un pour les produits de première nécessité avec un taux inférieur (de l’ordre de 5%) et un taux pour les autres produits (de l’ordre de 20% à 25%). Ces taux seront définies et gravés dans le marbre de la constitution. Cet impôt s’appliquera à tous les résidents (personnes physiques), y compris les artisans ou commerçants lorsqu’ils achètent dans le but de revendre. Cet impôt sera collecté par les sociétés (personnes morales). Cet impôt ne s’appliquera pas aux services.
- Les taxes à l’importation qui s’appliqueront aux produits importés. Son taux sera variable et décidé selon le produit et sa provenance par le ministère en charge.
- L’impôt volontaire sur le revenu qui aura un taux fixe de 15% gravé dans le marbre et sera payé volontairement. Il pourra être calculé soit à partir des revenus déclarés, soit à partir des dépenses accumulées sur l’année. De la même façon, un contrôle pourra se faire par comparaison entre niveau de vie et déclaration ou, sur demande de la personne contrôlée, sur l’ensemble de ses revenus.
Lorsqu’un résident décidera de payer des impôts sur le revenu, il devra déclarer ses revenus ou ses dépenses (selon le mode de calcul) et payer cet impôt pour l’ensemble du foyer.
Aucun autre impôt ne pourra être appliqué aux résidents, ni aux sociétés.
Il convient cependant de clarifier que l’état pourra tirer ses revenus d’autres façons et décider de la nécessité de licenses commerciales payantes pour des sociétés dès lors qu’elles dépassent une certaine taille (de l’ordre du millier de salariés), ou la vente de visas long séjours pour les travailleurs détachés sur le territoire. Ceci ne concernera ni les résidents sur le territoires ni les E.I., T.P.E. et P.M.E. (à l’exception de certaines professions régulées, telles que la médecine, l’architecture, la réalisation de gros oeuvre …).
Le résident et le Citoyen
Puisque nous avons abordé le concept de l’impôt volontaire, il convient également d’aborder la différence entre le citoyen et le résident.
Le résident est celui qui réside de façon permanente ou temporaire sur le territoire nationale. Il aura le droit de travailler et de vivre en paix. Il ne payera aucun impôt sur le revenu. Il ne pourra ni voter ni entrer en politique.
Le Citoyen est un résident permanent qui a payé l’impôt sur ses revenus de l’année précédente. Le Citoyen pourra voter à toutes les élections et référendums. Une personne qui a fondé un foyer, qui a eu au moins un enfant et qui a en charge son éducation et qui a été citoyen pendant au moins trois ans pourra, s’il le désire, s’engager en politique et se présenter à une élection à la Présidence, au poste de Maire ou de Juge.
La citoyenneté ne sera pas accessible à tous. Il faudra être né en France ou d’au moins un parent Français.
Les fonctionnaires, et tous ceux dont la source principale de revenus provient de l’État (ceci inclut les chefs d’entreprises ou les actionnaires principaux d’une entreprise qui travaille majoritairement sur des chantiers dont le donneur d’ordre est l’état), les journalistes, reporters, influenceurs, acteurs et de manière générale tous ceux qui travaillent dans le domaine des médias pourront devenir citoyens mais ne pourront pas concourir à une élection (l’exclusion s’appliquera à tous les membres du foyer).
Les repris de justice et toute personne condamné par la justice et dont la peine comprend au moins une peine de prison (avec ou sans sursis) n’auront pas non plus accès aux fonctions politiques.