Skip to content

Les entrepreneurs ne sont pas des tricheurs.

  • Humeurs

Déjà tout gamin, j’ai toujours détesté l’école. C’était comme une prison, un temps que tous les gamins devaient faire en punition de la vie qui leur était donnée. Je n’avais commis aucun crime et je ne comprenais pas pourquoi on attentait de la sorte à ma liberté.

J’ai réalisé bien plus tard qu’en fait, je n’aimais pas l’école parce que c’est un lieu de tricherie et de mensonges. N’étaient bons à l’école que ceux qui aimaient l’école. Ils donnaient aux professeurs ce que les professeurs voulaient, ils avaient de bonnes notes et c’est tout ce que l’école attendait d’eux. On ne réussit pas à l’école parce qu’on est savant ou intelligent, on réussit à l’école parce qu’on sait répondre aux questions posées par les professeurs.

La vie m’a donné raison, de toutes les relations que j’ai plus ou moins gardé de cette époque, les meilleurs à l’école sont devenus eux-mêmes professeurs des écoles et les cancres sont devenus entrepreneurs. Les cancres ne sont pas bons à l’école parce que l’école ne forme pas des entrepreneurs, elle forme des tricheurs et on ne réussit pas dans l’entreprenariat par la triche.

En 25 ans de carrière dans les startups, j’en ai tiré bien des leçons, mais une des plus importantes, ce n’est pas la seule, mais elle est importante, c’est qu’on ne monte pas une entreprise en trichant.

Les Japonais vantent rarement la qualité de leurs produits. Ils ont des méthodes marketing tout à fait efficaces, mais ils n’abordent que rarement la notion de qualité. Pourtant, lors d’un sondage sur la réputation des produits fait aux USA, ils arrivèrent premiers sur les critères de qualité. Tout simplement parce que les gens n’ont pas jugé les produits japonais sur ce que disait le marketing de ces produits, mais sur leurs qualités réelles.

Les japonais ne trichent pas. Il font des produits de qualité et quel que soit leur marketing, les gens savent que le produit est de qualité simplement parce qu’ils l’ont expérimenté.

Neuf startup sur dix échouent. Dans ces échecs, il y a de tout, des mauvaises idées, des mauvais produits, des mauvaises réalisations. Mais il y a aussi des bonnes idées et des bons produits bien réalisés. Mais ce qui est sur, c’est que celle qui réussit a une bonne idée, un bon produit et une excellente réalisation. Il n’y a pas de trucs, pas de raccourcis, pas de triche, le monde de l’entreprenariat est sans pitié. Lorsque vous montez votre entreprise, faites le bien. Ce n’est pas une garantie de succès, mais c’est un requis indispensable.

Petite fille dans les bras

Nous sommes vendredi soir, demain samedi, je dois aller à l’Alliance Française rendre quelques livres et en emprunter d’autres. L’AF est à trois kilomètres de l’appartement, habituellement, je fais ce trajet à pied et en profite pour prendre le Leica avec moi et shooter un peu dans les rues de Bangkok. Pour me motiver, je regarde les images que j’ai réalisé les semaines précédentes. C’est peut-être un peu orgueilleux, mais mes photographies sont celles avec les quelles j’ai la meilleure connection. Non que je me juge comme étant un grand photographe, mais simplement parce que ce sont les miennes, elles emportent toutes un morceau de moi même que je retrouve à chaque fois que les regarde.

Mauvaise nouvelle pour Guy Tenenbaum

  • Humeurs

Il y a quelques mois, Fred Evrard nous quittait, victime d’une récidive d’un cancer du colon. Je n’ai jamais connu, ni même suivi Fred Evrard. Il officiait principalement sur Youtube ou il enseignait comment ne pas nourrir le cancer en se privant de sucre et en jeûnant.

Le décès de Fred a causé un coup de stress important dans la communauté de ceux qui se reconnaissaient dans son message: on pouvait mourrir d’un cancer, même sous un régime cétogène, même en jeûnant.

Pourtant, il eu suffit à ces gens de lire “Fasting can save your life” de Herbert Shelton à la page 36 ou il nous annonce clairement:

Il y a ceux qui demandent: Jeûner peut-il guérir le cancer ? My réponse est que j’ai vu beaucoup de tumeurs cancéreuses réduire pendant un jeûne, je n’en ai jamais vu disparaître complètement“.

On parle ici de Herbert M.Shelton, l’homme qui conseillait des jeûnes de 40 jours et pour qui la notion de “jeûne intermittent” n’avait aucun sens en soit. Nous avons la réponse, le jeûne peut peut-être améliorer votre santé, mais il ne guérit pas le cancer.

Visiblement stressé de la mort de son ami, Guy Tenenbaum, auteur de plusieurs livres sur la guérison de son cancer, a fait un test médical compliqué pour découvrir que lui aussi avait fait une récidive.

Loin de moi l’idée de donner des leçons sur le cancer, j’ai eu mon lot de souffrance mais j’ai échappé à celle-là. Je n’ai pas la moindre idée si ce que je sais, ce que j’ai lu, me permettrait de me sortir d’une telle situation. Mais il me semble logique que celui qui a exprimé sur le sujet un avis qui me paraît le plus raisonnable est Aajonous Vonderplanitz.

Si je comprends correctement son analyse, le cancer, ou la croissance d’une tumeur cancéreuse, n’est que le symptôme d’une intoxication générale du corps et son incapacité à se débarrasser de ses déchets par des voies plus naturelles (bactéries, virus, champignons …). Se débarrasser de la tumeur par un jeûne ne signifie pas qu’on a vidé les poubelles, mais juste qu’on a bloqué le corps dans un processus pour les éliminer.

Bref, toute la communauté des jeûneurs a oublié la partie la plus importante de son propre message: le symptôme n’est rien, le terrain est tout. Parfois, le terrain est tellement encrassé que le symptôme tue.

Voulez-vous savoir comment fonctionne l’assistance sociale ?

  • Humeurs

Quand je parle d’assistance sociale, je parle de ces femmes qui rentrent dans votre vie privée sous le prétexte fallacieux de vous porter assistance et qui finissent par détruire tout ce qu’elles y trouvent. Vous voyez de qui je parle ?

Non ? tant mieux pour vous alors parce que ceux qui les ont rencontré ont fait une belle descente en enfer: famille brisée, internement en institution médicale et j’en passe et des meilleures.

Le film à ne pas rater est “I care a lot” sorti en 2020. Il raconte comment deux lesbiennes (sans enfants) arnaquent les personnes âgées de façon parfaitement légale: rapports mensongers, internement forcé dans une institution médicale, mise sous tutelle et liquidation des biens pour payer les frais. C’est simple, on dirait un témoignage d’une victime de ces requins. Ce ne serait pas à propos des personnes âgées, on reconnaîtrait presque les méthodes des AS de l’ASE.

Le film est extra-ordinaire, il est mauvais à souhait et finit même de façon loufoque, mais il est mordant de réalisme (enfin, les deux premiers tiers du films) quant aux méthodes de ces harpies lorsqu’elles ont repéré une proie et surtout sur leur profil psychologique.

À voir absolument.

Le Français, ce con qui dit toujours non.

  • Humeurs

Sur les 25 dernières années, j’en ai passé au moins 18 à l’étranger, mais plus important, j’en ai passé 23 à travailler quasi exclusivement à l’international. Sur ce laps de temps, j’ai côtoyé des Français, bien sur, mais aussi des Singapouriens, des Coréens, des Américains (dans le sens continental du terme), des Australiens, des Chinois, des Russes, des Suisses, des Saoudiens … j’en oublie surement un paquet, à part quelques pays d’Afrique et la Corée du Nord, j’ai du être en contact pour la réalisation d’un projet ou d’un autre avec des citoyens de tous les pays de la planète.

En fait, j’ai tellement travaillé à l’international, et même lorsque les gens avec qui je travaillais étaient Français, ils étaient aussi internationaux que moi, que j’en ai oublié les spécificité de ma propre culture et que j’en suis venu à avoir sur la France et son peuple un oeil extérieur.

Le Français, ce con qui dit toujours Non!

La culture, c’est un peu comme les accents, on remarque toujours celui des autres mais jamais le sien. Pourtant, les chocs culturels avec le Français sont légions, surtout lorsque celui-ci est un receveur d’ordre. La meilleure façon de s’en rendre compte est de voyager. Prenez l’avion et allez visiter Singapour. Vous arrivez, l’aéroport est grand, magnifiquement décoré, l’attente à la frontière est minime et tout est bien organisé, les baggages arrivent sur le tapis en quelques minutes. Sans exagérer, 20 minutes après avoir atterri, vous êtes dans le taxi.

Revenez en France, l’avion se pose sur le tarmac. Des bus arrivent 20 minutes plus tard pour transporter des passagers épuisés par 12 heures de vols. Après 15 minutes de bus, vous arrivez dans l’aéroport, c’est froid, c’est dégueulasse. Deux postes de frontières ouverts sur les 15 présents (une grève ou un jour normal à CDG ?) et vous êtes partis pour 50 minutes d’attentes juste pour viser le passeport. Quel que soit le temps d’attente, les baggages ne sont pas sur le tapis au moment d’y arriver … j’arrête là, vous voyez l’esprit.

J’exagère ? si peu. Cette mauvaise volonté du Français à essayer de présenter un visage positif se retrouve en permanence. Au niveau professionnel, toute nouvelle demande est un problème, elle fait d’abord face à un refus, puis à un “peut-être”. Au final, la demande sera implantée mais que d’énergie dépensée pour en arriver là. Le Français compense en étant généralement compétent.

Lorsqu’il fait face au Nord Américain (celui des US), c’est le clash. L’Américain est à l’exact opposé du Français. Il dit oui à tout avec un ton enthousiaste allant jusqu’à vous faire croire que votre nouvelle idée la meilleure qu’il ai jamais vu et qu’il donnera à votre requête une priorité absolue. Mais le Nord Américain est plus prompt à promettre qu’à livrer. Alors imaginez quand il fait face à un “Non” Français ce qu’il ressent (la situation dans l’autre sens est tout aussi peu productive, lorsque le Français est fier d’avoir tiré un “Oui” pour ne vient rien venir).

À l’international, le racisme est une partie intégrante de la façon de travailler. Entendons nous bien, je parle de “racisme” dans son sens littéral, il n’est nullement question de xénophobie ici, mais de reconnaissance des différences culturelles et de l’instinct de se regrouper. Ainsi, dans toutes les sociétés, il existe un plafond de verre qu’il est très difficile, parfois impossible, de briser et qui limite l’accès à des postes hiérarchiques à des gens qui sont du pays. C’est très vrai pour les sociétés Indiennes, par exemple, ou ils recomposent dans leur modèle hiérarchique leur propre modèle social. Mais c’est tout aussi vrai dans une société Française ou tous les postes de directions seront occupés quasi exclusivement par des Français, à défaut des Francophones ou des Européens.

Cette sorte d’instinct de regroupement n’est que la volonté de se comprendre entre gens d’une même culture.

Il n’y a rien de pire pour une société que d’essayer de s’implanter dans un pays sans utiliser une passerelle culturelle souvent représenté par un ressortissant du pays d’origine de la société vivant dans le pays de destination depuis assez longtemps pour en comprendre les nuances et différences culturelles et adapter la politique intérieure de la société.

Il y a trois types de rapports professionnels :

  • Un rapport hiérarchique (vous êtes donneur d’ordre)
  • Un rapport à égalité (vous êtes au même niveau que votre interlocuteur)
  • Un rapport hiérarchique (vous êtes receveur d’ordre)

Selon le type de rapport, une différence culturelle qui a un impact négatif dans un sens aura un impact souvent positif dans l’autre sens. Ceci signifie que deux personnes peuvent très bien travailler ensemble parce qu’elles sont dans un rapport hiérarchique donné, mais parce que ce rapport va changer (suite à une promotion, par exemple), la relation va se dégrader et peut mener à l’échec. Ceci seul justifie le plafond de verre culturel dont je parlais plus haut.

L’international paraît souvent comme une carrière intéressante, surtout dans le domaine de l’informatique. Mais attention cependant, au delà du choc culturel, se cache une situation qui n’est pas si rose. Travailler dans un autre pays signifie que vous serez l’étranger, dans de nombreux pays cela se traduit une absence totale de droit sociaux: pas d’assurance maladie, pas de points pour la retraite (les contrats d’expats des années 2000 à USD 25K par mois, école des gosses, assurances et loyers payés se sont réduis comme peau de chagrin). Votre visa dépend directement de votre employeur et ce dernier n’a bien souvent aucun compte à rendre et aucune obligation à vous garder. Vous perdez votre emploi et vous n’avez que quelques semaines pour plier armes et baggages et rentrer au pays.

Alors, êtes-vous prêt à aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte ?

Avez-vous lu Paul Graham ?

  • Humeurs

Aucun CTO, ni même aucun CEO, ne devrait s’attaquer à des projets en startup sans avoir lu Paul Graham.

Pendant presque 20 ans, j’ai été “serial CTO” (ou lead technique) pour des startups, certaines ont réussi des belles exits, d’autres se sont vautrées, mais j’ai toujours eu un instinct sur comment il fallait faire les choses techniques et un désaccord assez profond avec les pratiques habituelles de la profession.

Jusqu’à ce que je découvre que cette manière de travailler avait été formalisé par Paul Graham et que c’était même une clef vers le succès.

“If you’re running a startup, you had better be doing something odd. If not, you’re in big trouble.” (Hackers & Painters, Paul Graham).

Ce que Paul Graham exprime ici, c’est qu’une startup n’est pas une grande société et qu’elle ne résout pas des problèmes de grandes sociétés. Donc, elle ne devrait pas utiliser non plus les méthodes des grandes sociétés mais inventer une façon de travailler qui lui donne un avantage concurrentiel sur les grandes sociétés et, plus important encore, sur les autres startup.

En ceci, Paul Graham insiste sur le fait que plus une technologie est utilisée et moins elle représente un avantage concurrentiel et donc moins elle est intéressante dans la réalisation technique d’un projet. Ainsi, il avait choisi d’utiliser Lisp pour développer sa plateforme, bien que ce langage soit peu utilisé, Graham pensait qu’il offrait des possibilités que les autres langages en vogue, et donc largement utilisés, à l’époque (tels que Java) ne pouvaient pas offrir. L’avenir lui donna raison, Paul Graham a vendu sa société à Yahoo (très belle exit).

Aujourd’hui, je vois des jeunes CTO dans des startup essayer de résoudre des problèmes de grandes sociétés. Ils parlent d’organisation, d’Agilité, de redondance, de performances des équipes mais ils oublient que les startups n’ont pas de problèmes d’organisation, elles n’ont pas besoin d’être Agiles, elles n’ont pas d’équipe parce qu’elles n’ont pas d’argent et elles n’ont que faire de redondance parce qu’elles doivent d’abord créer un produit et un marché.

Les sujets que nous n’aborderons pas.

Ce programme n’a pas abordé tous les sujets possibles.

Avant tout, le Libertarisme est une doctrine qui vise à défendre la liberté de l’individu et à diminuer l’interventionnisme de l’État. Ainsi, beaucoup de sujets ne sont pas abordés parce que ce n’est pas le rôle de l’État de répondre sur ces sujets.

Que ce soit le réchauffement climatique, la défense des homosexuels ou le rôle des femmes dans la société … la liste est sans fin et les avis divergent sur les solutions à apporter et parfois sur la façon de poser le problème.

Il ne revient pas à l’État d’imposer aux individus une manière d’être ou de penser. Il y a une discrimination à l’embauche ? pourquoi voulez-vous imposer à un employeur d’embaucher quelqu’un qu’il n’aime pas ? Même pour une raison personnelle. Pourquoi devrait-on avoir 50% de femmes ici, ou là si des hommes sont plus compétents à ces postes ? L’État n’a pas non plus à subventionner des évènements parce qu’ils représentent une minorité, fût-elle sexuelle.

Il ne revient pas non plus à l’État d’intervenir dans le cadre d’un contrat entre deux parties. Tant que les deux parties y trouvent leur intérêt, l’État n’aura pas son mot à dire et il ne l’aura pas.

D’autres sujets méritent une réflexion approfondie et devront faire l’objet d’un référendum ou les citoyens pourront s’exprimer. C’est le cas de la peine de mort et des crimes aux quels elle répond par exemple.

Mais attention, tous les sujets ne pourront pas être traité par la voie du référendum. Voter ce programme, c’est déjà donner un mandat pour le réaliser et il ne serait être question de remettre en cause ses fondements. Le rôle de l’État, ses domaines d’interventions, les devoirs Régaliens sont des sujets qui ne doivent être touchés qu’avec la plus extrême prudence.

Mandat Présidentiel et Référendums.

Le mandat Présidentiel ne sera pas limité dans le temps et ne s’arrêtera qu’au décès du Président, dans le cadre d’une destitution ou d’une démission.

Le peuple pourra s’exprimer et toutes les lois seront votées au moyen du référendum.

Il existera trois types de référendums:

  • Le RIC ou le Référendum d’Initiative Citoyenne. Ce dernier sera déclenché sur pétition si cette dernière obtient un support d’au moins 5% des Citoyens
  • Le RIG ou le Référendum d’Initiative Gouvernementale. Ce dernier sera déclenché par un Ministre en poste.
  • Le RIP ou le Référendum d’Initiative Présidentielle et qui doit exprimer forcément un souhait Présidentiel. Ce dernier sera déclenché par le Président.

La destitution automatique du Président aura lieu dans les cas suivant:

  • Dans le cas d’un vote de confiance ou le “Non” l’emporterait provoqué par un RIC.
  • Dans le cas d’un RIP si le résultat exprimé est contraire aux souhaits du Président.

Aucun vote de confiance (RIC) ne pourra avoir lieu pendant les trois premières années d’un mandat ni la même année ou a déjà eu lieu un vote de confiance (RIC) ou un RIP.

Suite à la destitution du Président, des élections prendront place. Tous les candidats devront s’inscrire sur une plateforme en ligne mis en place par l’État, dans la mairie de leur domicile ou la préfecture de leur département. Ils fourniront leur état civil et une copie de leur programme ainsi que la description d’un moyen pour être contacté par les citoyens désirant leur poser des questions et obtenir des réponses.

Un vote ouvert à tous les Citoyens prendra place en trois tours.

  • Le premier tour sélectionnera dix candidats sur tous les candidats.
  • Le second tour sélectionnera deux candidats sur les 10.
  • Le troisième élira le Président à la majorité.

Pour être élu, un candidat devra obtenir au moins 50.01% des votes exprimés (non blancs) et au moins 33.34% de l’ensemble des votes.

Si aucun des candidats n’est élu, le Président sera tiré au sort parmi les Citoyens qui n’ont pas été candidat.