“Si imprimer de l’argent mettait fin à la pauvreté, imprimer des diplômes mettrait fin à la stupidité.”
Cet petite phrase de Javier Milei est une d’une intelligence rare en ce triste monde. Javier Milei nous montre ici que non seulement il a compris ce qu’est l’argent, mais il a également compris le rôle des universités dans la société.
Former les gens pendant de longues années n’a jamais généré de l’intelligence et cela n’a jamais été l’objectif. L’université d’ailleurs n’est pas faite pour les gens intelligents, ces derniers savent très bien se former tout seul et n’ont nul besoin d’aide. D’ailleurs, les plus grands chefs d’entreprises, non pas ceux qui ont obtenu un poste par relation, par héritage ou par privilège de classe, mais ceux qui ont créé des empires en partant de rien, ne sont souvent pas des grands diplômés.
Que ce soit Ingvar Kamprad (Ikea), Bill Gates (Microsoft), Mark Zuckerberg (Facebook) ou encore Édouard Leclerc (Leclerc), tous ces hommes qui ont créé des empires n’ont jamais obtenu le moindre diplôme universitaire.
Les formations universitaires sont pour les imbéciles, non, je n’ai pas dit les simples d’esprits, il faut un certain niveau pour engranger la connaissance qu’elles cherchent à nous inculquer. Mais des imbéciles tout de mêmes parce que ceux qui vont au bout du cursus n’ont pas cette capacité à apprendre seuls, à se remettre en question et surtout à profiter des opportunités qu’offre leur époque.
Les sociétés qui filtrent les candidats, tous comme les pays qui filtrent les immigrés, sur des critères universitaires savent-ils qu’ils se privent ainsi d’une classe d’hommes qui plus que tous les autres sont capables de créer et de construire ?