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Thaïlande

Il y un chat dans le shampoing

Pour faire une photo de chat, c’est pas très compliqué: trouvez un chat, prenez le en photo. Comme il a l’ouïe très fine, il va entendre le déclic de l’appareil (et pourtant, un M9, ça fait pas beaucoup de bruit) et il va chercher d’ou vient le bruit, maintenant refaite la même photo du chat qui vous regarde en se demandant ce que c’est que cette bête là.

Dry meat under the sun

Utiliser intensivement un Leica pour faire de la photo de rue est un exercice périlleux, surtout lorsque le sujet est mouvant et qu’il n’a pas d’attendre que vous fassiez la mise au point et que vous cadriez.

Comme conseil, je dirais, prenez un grand angle (ici, 21mm de Voigtlander), étudiez l’hyperfocale et rentrez dans le sujet. Surtout ne vous cachez pas, le Leica a un capital sympathie que les autres appareils n’ont pas, il est petit, il ne cache pas le photographe. Le grand angle vous permet même d’adopter un angle un peu décalé ou personne n’a l’impression d’être vraiment sur l’image.

Une salle de sport dans un cimetière

En plein coeur de Bangkok, il existe un vieux cimetière Chinois avec une salle de sport.

Bien sur, la salle de sport n’est pas pour les morts, elle est pour les vivants. Son entrée est payante, 20 THB.

Les équipements, couleur jaune pâle, semblent tout droits sortis de récup d’une usine d’à côté.

Le cimetière sert de parc, les gens viennent courir, faire des arts martiaux, de la musculation ou boire un verre dans l’un des nombreux stands présents.

Il est à la fois étrange et amusant de constater que les Thaïlandais ont su transformer un endroit de mort en un endroit ou foisonne la vie.