On estime que 68.6 millions de personnes résident en France.

Environ 42 millions de personnes sont en âge de travailler.

La France compte 5,7 millions de fonctionnaires. On a également 5.5 millions de chômeurs et 1.89 personnes touchent le RSA. On estime également que 2,2 millions de personnes travaillent dans des sociétés ou des associations qui sont financées par l’état. Si on additionne toutes ces catégories de gens, on obtient un total de 15.29 millions de personnes dont les revenus dépendent directement de l’état.

Donc 26 millions de personnes environs travaillent dans le privé. Grok me reproche mon optimisme et m’informe qu’en fait seulement 21.15 millions de personnes en France travaillent vraiment dans le privé.

Chaque actif en France qui a un vrai travail dans une société privée finance 3.24 personnes. C’est à dire que seulement 4 personnes sur 10 travaillent.

J’ai vécu plus de quelques mois dans une dizaine de pays dans ma vie. J’ai acquis une certaine expérience en tant qu’expatrié et surtout une vision extérieure aux problèmes domestiques de ces pays. En fait, la question m’est venu de façon opposée: “quels sont les pays ou j’irais bien m’installer”. Mais la liste risque de ne pas être exhaustive. Par exemple, je ne connais pas Vanuatu, je n’ai aucune idée si j’irais ou n’irais pas m’y installer. Alors que la liste des pays dans les quels je je n’irai pas m’installer (sans y être contraint) est relativement exhaustive.

La France, avant tout. C’est un enfer fiscal ou la notion de démocratie a atteint son propre niveau de corruption, c’est à dire ou une majorité de gens vivent en parasites sur une minorités de gens qui travaillent.

Avec la France, pour des raisons similaires, je compterai la plupart des ces voisins et même la quasi totalité des pays de l’UE. Lorsque ce n’est pas pour leur dépendance au pouvoir corrompu de Bruxelles, c’est pour le climat. Je me suis habitué aux climats chauds et c’est une habitude que je ne souhaite pas quitter. Oublions dont le Canada qui cumule à la fois un climat de m… et un système politique corrompu.

Singapour, ou j’ai vécu beaucoup trop longtemps et ou j’ai été témoin de l’évolution d’un système politique basé sur la méritocratie vers la médiocratie.

L’Inde, parce que je n’ai que très rarement eu de bonne expérience avec les gens venant de ce pays et que j’ai trop souvent été victimes des trucs qu’ils utilisent pour tirer avantage de toute situation au détriment d’autrui. N’allez pas croire que tous les indiens sont ainsi, il n’empêche que ce sentiment est globalement partagé par tous les gens que je connais et qui ont eu affaire à eux.

L’ensemble des pays d’Afrique. Peut-être plus par méconnaissance qu’autre chose. Je n’ai passé sur ce continent guère plus de trois jours sur l’ensemble de ma vie et il est vrai qu’ils se sont assez mal passés.

L’Amérique du Sud, à l’exception aujourd’hui de l’Argentine, pour des raisons faciles à deviner.

L’Australie et la Nouvelle Zélande parce que la crise COVID a montré la vraie face du pouvoir dans ces pays et que cela me fait peur.

Nous vivons une époque formidable, si ce n’est l’époque la plus intéressante de l’histoire de l’humanité. Toute la gauchiasse Française s’est donné le mot pour quitter X (ex-Twitter) au nom de la liberté d’expression. Notez que personne sur X ne les a censuré ou n’a même menacé de le faire. Notez également qu’ils y sont, encore aujourd’hui, largement sur-représentés.

Mais alors, de quelle liberté d’expression parlent-ils ?

Mais de la notre, de la votre, de tous ces gens qui ne sont pas forcément “de gauche” et qui expriment des idées contradictoires.

Car c’est bien connu, la liberté des uns s’arrête là ou commence celle des autres. Donc la liberté des gauchistes est de s’exprimer, la votre est de la fermer. Et comme vous la fermez pas, comme nous ne la fermons pas, ils ont décidé de quitter la tribune afin d’aller prêcher dans le désert.

Vous aussi, ça vous échappe. C’est, en tous cas, une excellente démonstration que toutes les décisions, et surtout celles qui sont politiques, ne peuvent pas être expliquées par l’intelligence. Certaines, par contre, peuvent très bien être expliquées par la connerie. Demain est le grand jour ou le X francophone se passera de la gauche Française, j’ai hate de voir cela.

“Si imprimer de l’argent mettait fin à la pauvreté, imprimer des diplômes mettrait fin à la stupidité.”

Cet petite phrase de Javier Milei est une d’une intelligence rare en ce triste monde. Javier Milei nous montre ici que non seulement il a compris ce qu’est l’argent, mais il a également compris le rôle des universités dans la société.

Former les gens pendant de longues années n’a jamais généré de l’intelligence et cela n’a jamais été l’objectif. L’université d’ailleurs n’est pas faite pour les gens intelligents, ces derniers savent très bien se former tout seul et n’ont nul besoin d’aide. D’ailleurs, les plus grands chefs d’entreprises, non pas ceux qui ont obtenu un poste par relation, par héritage ou par privilège de classe, mais ceux qui ont créé des empires en partant de rien, ne sont souvent pas des grands diplômés.

Que ce soit Ingvar Kamprad (Ikea), Bill Gates (Microsoft), Mark Zuckerberg (Facebook) ou encore Édouard Leclerc (Leclerc), tous ces hommes qui ont créé des empires n’ont jamais obtenu le moindre diplôme universitaire.

Les formations universitaires sont pour les imbéciles, non, je n’ai pas dit les simples d’esprits, il faut un certain niveau pour engranger la connaissance qu’elles cherchent à nous inculquer. Mais des imbéciles tout de mêmes parce que ceux qui vont au bout du cursus n’ont pas cette capacité à apprendre seuls, à se remettre en question et surtout à profiter des opportunités qu’offre leur époque.

Les sociétés qui filtrent les candidats, tous comme les pays qui filtrent les immigrés, sur des critères universitaires savent-ils qu’ils se privent ainsi d’une classe d’hommes qui plus que tous les autres sont capables de créer et de construire ?

Vous connaissez l’Usenet ?

Ne cherchez pas, si vous avez moins de 40 ans et que vous n’êtes pas geek, il y a très peu de chances que le terme n’ai autre qu’une vague signification dans votre esprit. Aussi, je vais vous l’expliquer:

L’Usenet est un réseau de serveurs à travers l’Internet qui hébergent des groupes de discussions. Tous les serveurs se synchronisent les uns les autres, si bien que quel que soit le serveur qu’un individu utilise, ses articles seront diffusés à tous les autres serveurs de la planète. Usenet utilise un protocol qui lui est dédié et nécessite un logiciel client qui comprend ce protocol, comme SLRN ou Thunderbird.

Aujourd’hui, Usenet est à l’agonie. Quelques groupes techniques ont encore un succès d’estime, mais le non renouvellement de ses utilisateurs et l’abandon des anciens, lassés des débats stériles sans fins qui hantent les discussions provoquent une mort lente et douloureuse du système.

Mais il fût un temps glorieux ou des discussions de très haut niveaux prenaient place en ce lieu. J’y ai appris la dialectique, une façon de penser, d’argumenter, d’écrire, de démontrer, de retourner sa veste, d’être en désaccord permanent quel que soit l’avis de l’autre, de convaincre et aussi d’être convaincu. C’est un jeu passionnant et je lui dois sans doute une bonne partie de ma plume d’aujourd’hui.

Il faut comprendre que les groupes rassemblent les gens par sujet, mais pas par opinion. Par exemple, il y a un forum de politique, mais il n’y a pas de forum pour les socialistes ou les nationalistes. Tous les gens qui veulent parler politique se retrouve dans la même cage aux lions. Forcément, ça peut donner des discussions houleuses.

Usenet fût détruit principalement par une armée de pervers narcissiques qui ne supportent pas le bonheur d’autrui et qui ont fait de la destruction de ce dernier un objectif de leur vie. Je ne parle pas ici de trolls. Troller, ou défendre un point de vue quasi-indéfendable, est une partie intégrante d’Usenet. Troller est amusant. Lire des trolls est également amusant. Non, je parle de harcèlement pur et simple. Je parle de gens qui occupent le terrain de façon disproportionnée et dont la majorité des interventions sont des attaques ad hominem sans rapport avec le fond des discussions. Des gens qui ont pris tellement au sérieux leur objectif de destruction, qu’ils ont des fiches sur les utilisateurs, qu’ils archivent tout, qu’ils enquêtent et qu’ils utilisent tous ces moyens dans le seul but de faire mal, de blesser sans la moindre compassion.

Petit à petit, j’ai vu l’Usenet mourrir sous les coups de buttoirs des Duzz, des Alf92 et autres crétins tristement connus et pourtant toujours anonymes, cachant leur lâcheté derrière un pseudo imbécile. Moi même parfois lassé, je leur ai cédé la place plus souvent qu’à mon tour. Petit à petit, tous les gens bien qu’on voyait là ont fait comme moi et ont abandonné la place, dépité de la connerie de certains à détruire un trésor qui nous était donné. L’humanité est bien triste d’avoir en son sein de telles déchets du genre humain.

Qu’à cela ne tienne, j’ai eu ma part. Ce fût un passage court de l’histoire de l’Internet, nous ne le laisserons pas aux générations futures.