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Humeurs

Les courants de pensées

Il m’arrive de trainer mes guêtres sur Linkedin. Vous savez, ce réseau social professionnel occupé par les RH et les narcisses. Linkedin est l’endroit parfait pour étudier les courants de pensées de notre société. Le fait que ce soit un réseau professionnel provoque une sorte d’auto-censure de l’expression des idées dissidentes et une sorte d’amplification des idées … de merde.

J’ai noté quatre courants de pensées qui sont à la mode en ce moment:

  • Le féminisme, poussé à l’absurde. Dernière stupidité sur le sujet, une féministe conseille à une jeune femme inexpérimentée, lors d’une réunion de travail à 90% masculine, de prendre la parole dans les cinq premières minutes de la réunion et ceci, je cite, “sans réfléchir”. Et on s’étonnera que certaines femmes ne sont pas prises au sérieux.
  • Le changement climatique, lui aussi poussé à l’absurde. Autre stupidité du sujet, une très grande société laitière, que vous connaissez surement, a lancé un projet d’application mobile pour les fermes laitières afin qu’elles comptabilisent le méthane rejeté par les vaches. Je me demande encore comment nous avons survécu pendant 8000 ans sans ces génies.
  • L’Intelligence artificielle qui, à elle seule, mériterait un livre. Montée au pinacle par la stupidité naturelle, une armée de cadres très sérieux, qui n’ont pas la moindre idée de ce que définit le terme IA, rêvent du meilleur des mondes.
  • Le RCS, celui là est lié au milieu professionnel dans le quel j’évolue et vous ne le rencontrerez pas forcément. C’est encore plus inquiétant d’ailleurs, parce que des professionnels du même milieu parlent carrément d’une nouvelle ère du SMS parce qu’Apple a annoncé qu’ils supporteraient RCS l’an prochain. Calmez-vous les gars, seuls six opérateurs dans le monde ont accepté RCS, et pour cause, les autres n’ont aucune envie de signer un contrat avec Google, ils ont très bien compris que l’objectif du géant de l’Internet était d’appliquer au GSM sa stratégie habituelle: Embrace, Extend, extinguish.

Je ne me fais aucune illusion que les autres branches professionnelles ont également des sortes d’hystéries collectives sur des non-sujets, vaccination ARM chez les uns, voiture électrique chez les autres.

Il y a 20 ans alors que je débutais ma carrière dans l’informatique, je me faisais cette reflexion que nous n’avons encore aucune idée de l’impact de l’Internet sur notre société. Aujourd’hui, je commence à me faire une petite idée sur le sujet, et c’est pas optimiste.

IA créatrice

  • Humeurs

L’IA, c’est l’Intelligence Artificielle. Mais dans les faits, l’IA, c’est quoi ?

S’il fallait résumer en une phrase, je dirais que l’IA est la capacité d’un système artificiel (un ordinateur) à prendre une décision en fonction de paramètres.

Cette capacité est mis en place avec un ensemble d’algorithmes. Ces algorithmes sont des interprétations mathématiques de problèmes posés. Par exemple, un ordinateur jouant aux échecs va simplement passer en revue tous les coups possibles et leur attribuer un score pour chacun de ces coups, puis il va passer en revue l’ensemble des coups possibles pour son adversaires puis … il va continuer ainsi jusqu’aux limites artificielles fixées et ainsi calculer la valeur de chaque coup jusqu’à 10, 15 ou 20 coups `a l’avance et jouer celui qui lui rapporte le plus (ou qui vous en rapporte le moins).

Il n’y a rien d’intelligent dans la méthode qu’utilise un ordinateur pour jouer aux échecs. Il calcule, c’est tout. Et bien qu’il calcule très vite, très fort et très loin, il se fait encore battre par l’homme (c’est dire s’il est con).

Lorsqu’une IA génère un texte, c’est exactement le même principe. Elle a juste étudié des milliers d’ouvrages et de textes, elle sait combien de mots mettre dans une phrase, quel mot suit le plus tel autre mot. Elle utilise une représentation mathématique des mots (chaque mot à une coordonnée en rapport avec son sens). Mais elle ne crée pas. elle se contente de reproduire statistiquement ce qu’elle a lu ailleurs.

Une IA ne peut créer ce qu’elle ne connait pas. Elle ne peut que reproduire ce qu’elle connait déjà. Plus elle a de données, plus elle peut sembler réagir à toutes les situations, il n’empêche que face à une situation nouvelle, elle n’a absolument aucune capacité créatrice ou adaptatrice. Ce quelle crée n’est qu’une représentation statistique de ce qu’elle connaît, en d’autres termes, elle singe l’homme.

L’utilisation abusive de l’IA aura les mêmes conséquences que l’utilisation abusive des CGI dans la création des films: c’est de la merde. C’est rapide, c’est pratique, c’est pas cher … mais c’est quand même de la merde.

Napoleon

Le film, je parle bien de celui de 2023, réalisé par Ridley Scott, celui à qui on doit Gladiator, Alien et même Le Blade Runner de 1982. Nous étions en droit de nous attendre à bon film.

Seulement voila, le film est distribué par Apple. En voyant le logo d’Apple apparaître en début de générique, j’ai immédiatement eu cette reflexion qu’on avait de la chance que ce ne soit pas un film de Netflix, Napoleon aurait été noir Africain, mais qu’avec Apple dans la boucle, Joséphine allait sans doute être un transgenre et Napoleon serait gai.

Et en effet, au moment ou Joséphine soulève sa robe devant Bonaparte en lui disant “if you look down, you’ll see a surprise” (si vous regardez en bas, vous aurez une surprise), j’ai eu un doute affreux et rien dans le film n’a été fait pour lever ce doute.

À plusieurs reprises, Napoléon va prendre Joséphine par derrière et dans des scènes aussi grotesques qu’inutiles, ridiculiser le film, l’acteur, l’actrice, l’Empereur et l’Histoire de France dans son ensemble. Malgré cela, le fait que Joséphine ne puisse avoir d’enfants restera central et ne lèvera pas le doute sur le vrai genre du personnage (et la naïve stupidité de l’Empereur).

Ces scènes stupides et grotesques qui, toutes additionnées, ne durent que quelques minutes sur un film de deux heures et demi, ont transformé une saga historique qu’on aurait pu montrer à nos enfants tant la trame de fond et les batailles sont plutôt bien faites en farce demi-pornographique interdite, à juste titre, aux moins de 18 ans.

Le mal du pays

Le mal du pays n’est pas cette nostalgie d’un endroit que l’on appelle “chez soi”, non. Je n’ai aucun regret à avoir quitté la France, terre qui pourtant m’a vu naître. Car ce n’est pas dans la France d’aujourd’hui que j’ai grandi et que d’enfant, je suis devenu homme.

Je suis né dans la France de 1970, première génération post soixante-huit, j’ai grandi avec De Funes et Bourvil, dans une France qui savait encore affirmer son identité au travers sa culture et son industrie. J’ai grandi dans le pays sans pétrole, mais ou l’on avait des idées.

De cette enfance, j’ai gardé les souvenirs des marchés que nous faisions tous les étés à Joigny. La CX de mon oncle. Le marchand de jouets de Gallardon. Les images cognent parfois dans ma tête lorsqu’il me prend le mal du pays.

Mais ce pays n’existe plus, il est passé avec le temps. Les subventions ont détruit le cinéma, Citroën a été racheté par Peugeot et ne fait plus que des voitures “normales”, il n’y a toujours pas de pétrole, mais il n’y a plus d’idées. L’assistanat généralisé a fait venir une armée d’assistés et a fait fuir tous les autres (loin l’idée de les critiquer, j’ai fuis aussi pour les mêmes raisons). Des politiciens avides de pouvoir ont inventé des lois pour tout régir parce qu’ils ne savent plus diriger le pays, alors ils veulent diriger nos vies.

En 2022, je suis bien plus chez moi à Bangkok que je ne le serai jamais plus en France. Ici, on fait de la moto sans casque. Le marchand de rue existe encore, la vie est partout et tous les rez-de-chaussé sont des petites boutiques qui vendent un petit déjeuner, du pain, des fruits et je ne sais quelle babiole.

Le Thaïlandais n’est pas un assisté, il ne peut pas l’être puisque l’état n’assiste pas. Travail et liberté veulent encore dire quelque chose. Et comme tout le monde connait le prix du travail, il se forme une sorte de respect entre les gens, rien n’est donné, tout se gagne à la sueur du front.

Cette Thaïlande là ressemble plus à la France de 1970, celle qui m’a vu naître, qu’à un pays étranger dont la langue m’échappe totalement. Dans ce pays, là, tel qu’il est maintenant, j’ai la chance immense de pouvoir vivre là ou je me sens chez moi.

Common Lisp contre Clojure

Ou la guerre des LISP.

J’ai eu une discussion dernièrement avec Jean Philippe Paradis, un partisan activiste de Common Lisp qui veut remettre ce langage dans le TOP 5 pour 2040.

Une posture qui m’a fait sourire, non que je n’aime pas en CL, c’est un excellent langage que j’utilise souvent et que j’apprécie beaucoup. Mais je suis bien conscient que c’est plus par nostalgie que pour les qualités techniques d’un langage dont la conception rigide commence à dater un peu face à l’évolution des langages modernes tels que Java, GO, Clojure.

Common Lisp est un language basé sur Lisp et qui n’a fait qu’accumuler couches après couches des fonctionnalités afin de garder le niveau par rapport `a ses concurrents les plus récents. Ce qui le rend inutilement verbeux et peu consistent.

Petit exemple tout bête, déclarer et renseigner une table de hachage en CL:

(def *h* (make-hash-table :test 'equal))
(setf (gethash "key" *h*) "value")

Ce qu’on déclarera beaucoup plus simplement avec Clojure:

(def h {'key' 'value'})

Bien sur, puisque les tables de hachage sont parties intégrante de Clojure, alors qu’ils sont une pièce rapportée à CL.

Il en va de même avec le multi-threading. Tous les compilateurs Common Lisp sont multi-threadés par défaut, mais comme cette fonctionnalité ne fait pas partie de CL à l’origine, la gestion des locks se fait par des mécanismes de lock qu’il faut gérer. Si bien que passer un code de mono-threadé à multi-threadé ne peut pas se faire de façon transparente à cause des accès concurrents.

Clojure est immutable par défaut et la modification de variables doit passer par des mécanismes déjà intégrés au langage tels que les atoms, les ref et les agents. Les ref intègrent même un mécanisme de transactions similaires aux bases de données ou un ensemble de modifications peuvent exécutées à l’intérieur d’une transaction avec l’assurance que si l’une d’entres elles échoue, alors aucune ne sera exécutée (commit ou rollback). Le tout est absolument thread-safe.

Et tout est à l’avenant parce que Clojure intègre nativement les tableaux, le multi-threading, les accès concurrents, les transactions en mémoire. Comme il a été conçu par une seule personne (ou une petite équipe), il est consistent, les ordres des arguments sont toujours les mêmes, il utilise les mêmes fonctions sur des structures de données différentes sans ré-inventer la roue à chaque fois.

Bref, si nous avons une chance de voir un Lisp se retrouver dans le Top 5 des langages pour 2040, Clojure a une bien meilleure chance d’y arriver que Common Lisp.

Injustice des hommes ou justice immanente.

  • Humeurs

Après plus de six mois de silence, Thierry Casasnovas a décidé de reprendre la parole.

Thierry fait parti de ce que j’appelle les “influenceurs toxiques”, mais cet article n’est pas à charge, je connais très bien son travail, j’ai tous les exemplaires de la revue Régénère et j’ai du regarder 80% des vidéos de Thierry. Certaines de ses vidéos sont exemplaires, comme sa série sur la vaccination ou certaines séries sur le jeûne. Ses conférence sur la physiologie sont également très bien faites et il est fort dommage qu’on ne les trouve plus en ligne.

Ce qui en fait un “influenceur toxique” ne se trouve pas dans ce qu’il a fait de bien, mais dans tout le reste. Il ne m’a pas fallu cinq minutes de recherches pour retrouver une ancienne vidéo de Thierry ou il affirme haut et fort que le lait est un produit toxique pour les enfants en bas âge et qu’il faut le remplacer par de l’eau de coco. Je ne suis pas le seul à lui avoir demandé de retirer cette vidéo en particulier, bien que sa vision sur le lait ait évolué (se reporter aux revues Régénère), il n’en a pas moins laissé ce contenu douteux en ligne.

Et c’est là qu’on rentre dans le côté toxique de ces influenceurs. Ils ont un égo tellement sur-dimensionné qu’ils valorisent plus leur héritage à l’humanité que le contenu du message. Thierry l’a d’ailleurs confirmé lors de discussions privées par email ou il se vantait d’avoir influencé plus de monde que moi, comme s’il s’agissait d’un critère de valeur.

Dans cette nouvelle vidéo, on retrouve un Thierry fatigué, les traits tirés, fortement amaigri et visiblement émotionnel. Victime d’harcèlement de la justice, on ne le niera pas, il ne réalise pas pour autant ce travail d’introspection refusant absolument de reconnaître qu’il est bien un “influenceur” et donc qu’il maintient sous son influence des gens même s’il ne les a jamais rencontré et qu’il ne les connait pas.

Je vois derrière l’injustice des hommes une justice immanente. Rien de ce qui arrive n’est le fruit du hasard.

Le portable dans nos vies.

Notre compréhension du monde dépend directement de notre perception de la réalité. Dans le spectre lumineux seul, nos yeux ne perçoivent pas même 1% des ondes lumineuses que nous croisons tous les jours. Il en va de même de tous nos sens, nos oreilles ne captent qu’une fraction des ondes sonores qui nous entourent.

De cette perception très parcellaire de ce qui nous entoure, la plupart d’entres nous ont même renoncé et ne regardent même plus la réalité qu’au travers le prisme d’un écran minuscule qu’ils tiennent devant leurs yeux quasiment en permanence.

J’aime faire des photographies parce que cela me connecte au réel. Cela me force à observer, à être un témoin de mon époque. Cela me pousse à augmenter ma perception de la réalité et, par conséquent, ma compréhension du monde. Comme tout le monde, j’ai un portable, un iPhone SE que j’apprécie. Le soir, sa batterie est rarement à moins de 80% lorsque vient le temps de le charger. J’ai plus souvent épuisé la batterie de mon Nikon que celle de mon iPhone.

Intelligence artificielle et bêtise naturelle

Je viens de finir mon tour d’horizon de l’intelligence artificielle en suivant les cours de Franck Yu https://cs50.harvard.edu/ai/2023/ sur le sujet. J’en ai retenu au moins deux choses:

  • Je n’aime pas ça, l’idée qu’un ordinateur puisse faire des choix en fonction de critères qui échappent au commun des mortels est une idée qui me déplait fortement. Principalement parce que cela donne un pouvoir démesuré à une caste de technocrates qui sont à l’origine des critères de décision.
  • La seconde dépend directement de la première: l’intelligence artificielle n’existe pas. J’entends par là que le terme d’intelligence artificielle est trompeur, car il n’y a aucune intelligence derrière, mais juste une suite d’algorithmes et de paramètres que seule cette caste de technocrates comprend.

Lorsqu’un ordinateur joue aux échecs, il se contente de profiter de son énorme puissance de calcul pour estimer tous les coups possibles aussi loin que sa puissance le lui permet, d’en estimer une valeur en fonction de critères connus (nombre et placement des pièces), puis de choisir le coup qui compte le plus de points. Il n’y aucune stratégie, aucun instinct, aucune intelligence derrière les coups d’un ordinateur, juste des calculs dans une proportion qu’aucun cerveau humain ne peut égaler.

Mais celui qui apprend, me direz-vous. L’ordinateur se contente d’enregistrer les mouvements qu’il a joué et de leur attribuer une note selon qu’il ai gagné ou perdu la partie. Il n’a plus qu’à regarder dans cette base de données la valeur des mouvements avant de jouer.

L’humain lui n’a qu’une puissance de calcul dérisoire et une mémoire de poisson rouge à côté. Il joue avec des stratégies, de l’expérience, de l’instinct. Et pourtant, malgré l’inégalité des forces, il gagne encore contre la machine. C’est cela la vraie intelligence.

Je vous vois arriver avec les réseaux de neurones. Ils apprennent à lire, à analyser une image, même une vidéo. C’est vrai, mais là aussi, il n’y a aucune intelligence. Chaque neurone dispose d’un algorithme ou il multiplie des valeurs par des poids, puis rajoute un biais qu’il a estimé en fonction d’un algorithme tout aussi simple qu’il a utilisé lorsqu’on lui a donné des valeurs de référence.

Encore une fois, cela fonctionne grace `a la puissance de calcul incroyablement élevée d’un ordinateur et malgré cela, l’ordinateur fera toujours une analyse moins bonne qu’un être humain. Il se trompera en lisant des chiffres, verra quelque chose qui n’existe pas dans une photographie. Parce qu’il n’est pas intelligent, il se contente de comparer statistiquement des données en fonction d’autres données.

Lunduke sucks

  • Humeurs

Il m’est arrivé de trainer mes guêtres sur les pages locales de Bryan Lunduke. L’ambiance y était sympa, un peu nerds, bref comme on les aime. Mais le conflit Israélo-Palestinien qui éclata en Octobre 2023 changea les choses.

Il faut vous dire que Lunduke est juif, pas seulement juif, il vit aux USA mais nous dit avoir vécu en Israël. Il voue à l’état juif une admiration sans bornes. Bon jusque là, il n’y a rien à redire, les gens ont leurs passions et l’amour de sa patrie est un sentiment honorable.

Mais ce conflit m’a montré le visage du Sionisme. Je suis peiné de le dire, c’est un visage de haine. Toute cette petite communauté s’est mise à se passer en boucle la propagande de guerre Israélienne et à s’encourager dans des messages de haine contre les Palestiniens. Alors que la discussion s’échauffait, j’ai appris que les Palestiniens voulaient massacrer tous les juifs et que c’est un projet vieux de 3500 ans. Je me demande si les t-rex n’avaient pas déjà fomenté un complot contre les Juif. Que plus de 30 millions de juifs sont déjà morts sous les coups du communisme en URSS (la terre n’a jamais compté plus de 16 millions de juifs en tout). Que le peuple Palestinien n’avait jamais existé (remarquez la contradiction avec le complot génocidaire vieux de 3500 ans) , les infrastructures présentes en Palestine avant 1948 sont sans doute apparut de la volonté de Dieu pour accueillir le peuple élu sur sa terre sacrée.

J’ai même appris que plein de gens voulaient tuer Bryan Lunduke et sa famille parce qu’il est juif.

Bref, ces gens sont malheureux et se sentent persécutés. Cela leur permet de justifier n’importe quelle guerre et n’importe quel massacre. Jamais ils ne sont responsables de rien, ce sont des victimes éternelles.

Je ne souscris pas à ce message. Je ne souscris pas `a la violence qu’engendre ce sentiment de persécution. Je ne crois pas une seconde qu’Israël et ses habitants soient persécutés par qui que ce soit et je ne supporte pas l’état juif dans sa guerre contre une haine fantasmée.

Je supporte la paix entre les peuples. Je supporte un Isra¨ël unis, un et entier, ou tous les enfants nés sur cette terre héritent de sa nationalité et des mêmes droits, qu’ils soient juifs, musulman ou quoi que ce soit.

N.B. Il va sans dire que j’ai fermé mes comptes dans cette petite communauté que je trouvais pourtant bien sympathique. Ses manifestations de haine et ses délires de persécutions m’ont donné une profonde nausée. J’ai vu le monde par leurs yeux l’espace d’une discussion, c’est une expérience que je ne souhaite à personne.

N.B.2 La photographie n’est pas de moi.